Franck Monnet en concert intime


Nous sommes heureux de recevoir Franck Monnet en concert intime au Satin Doll, le vendredi 9 février 2007.
Merci à tous pour votre participation. Un tirage au sort aura lieu le 8 janvier et déterminera le gagnant de ce petit jeu !
Pour patienter… http://www.franckmonnet.net/

11 réflexions sur « Franck Monnet en concert intime »

  1. nous sommes très heureux nous aussi, les dépendants de franck monnet, car il passe très peu, voire jamais dans les villes du sud de la loire…
    merci donc au satin doll pour les inconditionels de franck

  2. … j’ai écouté deux chansons du dernier cd de franck monnet sur son site… j’ai eu un peu de mal… cela fait très rock de base… quelqu’un l’a t-il écouté en entier… et me donner ses impressions… Je vais essayer de m’y coller plus longuement pour une deuxième impression…

    christodubitatif!

  3. je l’ai écouté en entier, et plusieurs fois même,
    ce mec est un grand assurément, n’en doutez pas
    mes amis !
    c’est une sacré pointure, je crois que je ne connais
    personne d’autre d’aussi libre, c’est un vrai bonheur,
    il assume sa musique et ses textes avec une telle force !

    je ne suis pas sensible à tout mais il faut reconnaître son
    immense talent !

  4. Très très impatient de voir Franck Monnet sur scène et de pouvoir partager ça avec la petite(pas pour longtemps!!) communauté d’inconditionnels….4 albums déjà, très différents les uns des autres, mais avec le même fil conducteur…un talent unique et original.

  5. Mais c’est ça qui est bon, Christo, le rock de Franck.
    Je ne sais pas ce que c’est que la base pour toi, base de pyramide, essentielle, base militante, encore plus importante quand elle n’est pas hésitante….

    Un militant de base de Franck Monnet t’assure ici que Franck, surtout, est un des rares chanteurs français du moment à faire de tout, à te proposer des chansons qui passent volontiers de la balade à du rock pur jus, du vrai, dont les plages du cd ne sont jamais les mêmes les unes après les autres, jamais copiées, toujours originales, recherchées, et s’il reprend une chanson de Vic Moan, c’est avec la fidélité, la justesse, le bon goût et l’excellente maîtrise du jeu, de la composition des textes autant que celle de ses accords toujours travaillés, fouillés, éclairés!
    Le ton de ce qu’il dit est à la fois juste et jamais emprunté ni conventionnel: une originalité authentique, de la part d’un garçon qui ne se prendrait jamais au sérieux si on se donnait le plaisir de reconnaître enfin son immense talent à une dimension plus large que celle de ses quelques amateurs avertis et confirmés, ce que nous souhaitons sincèrement enfin, désormais: quand lui-même a la capacité de reprendre ses anciens titres en les ayant totalement retravaillés, "passés au karcher", comme il le dit lui-même sans manquer d’humour et d’à propos, c’est un bonheur pour nous tous, tout simplement.

    J’adore écrire sur lui, j’espère ne pas vous ensabler les neurones avec mes airs de n’aimer que lui, mais Lumio, Petit coeur, sont des berceuses superbes; Les bancs, Malidor, sont des invitations à la promenade d’une exquise perfection musicale, qu’elle soit archi-simple, à la manière de Let’em in, de Mc Cartney/Wings, tout en étant construite avec une réelle connaissance, ou à l’architecture hardie et complexe avec des changements et des retours dignes d’une alchimie des couleurs et des saveurs, au fil des ponts.

    Alors si la basse qu’il titille avec conviction nous emmène sur d’autres étages, à la visite de rythmes plus férocement soutenus, et nous porte à une transe qu’il partage avec générosité et sans complexe en public, soutenu par un François Lasserre aussi lumineux qu’un Prince Vaillant en armure, brandissant Excalibur, et un Franck M’Boueké encore plus immaculé, dont la vigueur n’a rien à envier à la générosité d’un Horacio El Negro Hernandez ( et je suis sûr qu’il ferait un malheur à la Havane! ), les trois F formant un ensemble absolument uni, c’est du bonheur, du vrai bonheur, et on en a bien besoin.

    Voilà Christo, évade-toi, Monte et rejoins-nous: juste de l’autre côté de la colline, il y a un pays de simple harmonie et de vraie vie, où l’on redescend jusqu’au port et à l’esplanade à dos d’âne en ayant jeté ses cartes de crédit et sa clef de voiture, son portable et sa cravate: on t’attend pour la fête!

    A bientôt!

    Phil Faft.

  6. … cher phil
    je suis d’accord avec toutes tes acceptations du mot "base".. mais rock de base évoque pour moi le manque d’originalité (désolé je l’ai dit)… j’ai écouté son album et je dois dire qu’il y de bons morçeaux , le côté touche à tout sans vraiment trouver ses marques et son style… de plus rien qui ne me renverse… je suis un peu difficile question musique dans le genre je préfère Florent Marchet… plus frais… mais je respecte les fans et viendrais danser avec vous sur la colline… un jour… peut être après le concert donné à Bordeaux en février 2006…
    amitiés
    christo

  7. Christo

    (En ces lendemains de Nativité, comment ne pas penser "Christ au bal"?)

    Merci pour ta constance et tes amitiés.

    Je respecte tes goûts, c’est personnel.

    Je m’inscris cependant en faux pour ce qui est d’un manque d’originalité dans le rock de Franck, et plus encore en ce qui concerne ce qu’on lit lorsque tu écris " le côté touche à tout sans vraiment trouver ses marques et son style", s’agissant de lui:
    Une énaurme culture musicale, et une réelle maîtrise dans des rythmes ou des tonalités divers et variés, depuis le début cette recherche étonnante, et caractéristique, dans les textes.
    Le style de Franck existe, et il y a fort à penser que sa touche a marqué les productions des artistes auxquels il a prêté son talent en y participant à l’occasion, pour quelques chansons bien typées, sans pour autant dénaturer leurs propres habitudes musicales.
    C’est précisément dans les visites qu’il nous offre désormais dans ce rock qui ne t’a pas convaincu, que l’on peut le trouver touchant à un genre de plus, après le style presque "pop teenage" de quelques morceaux du précédent album, démontrant cependant déjà combien il avait intégré des pages entières de la meilleure musique anglo-saxonne.
    C’est véritablement sur scène que tu le trouveras alors convaincant, sans aucun artifice, totalement dans sa musique et avec le public en même temps, en un rock vraiment authentique qui nous cause, et en français, ce qui mérite d’être cité, sans pour autant être un rock ni décadent, ni détergent, ni se révoltant, ni nous consommant bêtement ( ah que tu comprends qu’il y a vraiment grave ailleurs, sans chercher, et surtout sans comparer, mais qui aura fait des millions d’euros de ventes à Noël – alors que Franck n’a pas vendu ce qu’il aurait dû – sans compter les montures de lunettes au nom du "rockeur national" avec désormais celles de son copain liquidateur-batteur-plongeur-amuseur grotesque en armure ou flingueur au grand coeur-agent secret de pacotille et il ne manquerait plus qu’il se mette à chanter celui-là aussi après avoir doublé Muphasa et le golden retriver le mieux payé du box-office ).

    En fait, quand tu parles de se trouver un style, une critique l’a déjà nommé, s’agissant de celui de Franck: "saudade rockée".

    Moi je me contenterais de parler d’un auteur-compositeur-interprête bourré de talent, au jeu de guitare délicieux et à la voix superbe, avec une présence inusable et une générosité inépuisable.

    Franck Monnet n’a pas besoin de disque d’or (quoique ça doit faire du bien de vivre des émoluments de la Sacem, comme dit Zed Van Traumat ), parce que ce qu’il touche quand il fait un disque est bien plus précieux que ça!

    Sur ce je file découvrir, si c’est possible, la fraîcheur de Florent Marchet s’il est sur le net, mais je sais que les saveurs, c’est comme les goûts et les couleurs, et je connais les subtilités de la musique de Franck, alors je saurai apprécier!

    A bientôt, ami.

  8. Là j’ai laissé un peu de temps pour voir arriver du neuf, mais c’est zéro réponse après la mienne.

    Juste un petit mot, alors quand même ( j’adore écrire, même si j’ai pas le temps ), pour dire que je suis allé voir et écouter ce que chante et met en scène le jeune homme dont Xsto a fait plus haut un petit bout de promotion avant la sortie de son second opus le 8 ou le 9 janvier.

    C’est quand même difficile à comparer à ce que fait Franck.

    Chacun son style.

    Je n’ai pas la télé, celui des tv-réalités n’accroche pas réellement mon enthousiasme, s’agissant de son protocole de présentation sur le site, mais on peut aimer cette sorte d’enquête à la Michael Keul, c’est bien ça?

    Quant aux chansons, je respecte le travail et la musique.

    Je peux aussi reconnaître les tendances, du moment, ou impérissable en version congelée prête à resservir après trente secondes au micro-ondes, l’inflexion de notre beau Vincent, ou celle du Souchon national plus remboursé par la sécurité sociale.

    Mais ça n’a rien à voir avec la musique de Franck, avec ses textes pulchrissimement dithyralambiqués, ses ballades délicieuses ou ses rythmes plus enveloppants que ceux de Lucky Peterson ou de Paul Personne, qui ont su avant lui tirer la quintessence de l’instrument sans se blesser sur une Gibson, et il sait tout autant que le dernier trouver des accords rares même s’il sont discrètement distillés, toujours surprenants et impeccablement justes, que Florent Marchet doit pouvoir trouver à sa façon, avec une culture et une expérience comme les siennes, mais qu’il ne nous a pas offerts en version rock pyramydalique à la base architecturale archi tech tonique.

    En un mot comme en cent, d’autres peuvent préférer Florent Marchet, j’y consens, mais j’affirme que si l’on vient vibrer avec Franck en solo au Satin Doll, ou lors de ses nombreux passages en province en 2007, l’année de ses vingt, deux cents ou deux mille sets, on ne le regrettera sûrement pas!

    Bonne année à tous, vous savez, celle du bon choix, pour éviter que le mauvais se relève!

  9. Je regrette de ne pouvoir aller t’écouter ce soir, mais j’espère que ce sera un succès et que tu reviendras, je vais dès demain aller à la FNAC
    Courage et toutes mes félicitations

  10. Pour vous réconcilier, j’ai vu samedi dernier à Lignières le concert de Florent Marchet. J’adore son travail. Il ne faut pas se contenter de quelques extraits de chansons. C’est un mélodiste et un arrangeur génial, un excellent auteur. Sn deuxième abum raconte une histoire tragique mais en concert, il fait preuve de beaucoup d’humour. Franck Monnet était le fil rouge du festival L’air du temps organisé par les parents de Florent. Et Franck Monnet est venu partager l’un des rappels à l’occasion du concert de Florent qui clôturait le festival. Ils ont chanté la chanson de Brigitte Fontaine "Dommage que tu sois mort". Le concert de Florent était éblouissant et magique. Ces mots me sont venus en sortant de la salle et ceux sont les mêmes que j’ai découverts dans la presse le lendemain.
    J’avoue que depuis que j’écoute Florent Marchet, j’ai du mal à entrer dans d’autres univers…

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