Vendredi 18 avril dès 19h :
Tom Poisson et Supermika/Shoubi or not

TOM POISSON

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« Les chansons de Tom Poisson aiment mieux l’amitié que l’amour. Elles se choisissent un grand frère, joué par Sanseverino (Mon coeur qui penche), ou un petit frère, celui du P’tit loup de Perret (Mon ami sans voix ). Chansons thérapeutiques, dit leur auteur. L’est-elle aussi, celle dédiée à un Papa atteint d’Alzheimer ? Les mots d’amour résonnent là, et touchent juste, comme ceux qui disent la passion attiédie, le malentendu d’après l’unisson. Ils offrent l’alternative de l’envol : au-dessus des toits, à la cime des voiles, vers l’azur… Tom Poisson – poisson-volant, chansons ailées – a pris son essor. » Anne-Marie Paquotte

1ere partie : SUPERMIKA – SHOUBI OR NOT

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Entre Rita Mitsouko et Philippe Katerine, ce duo chanson pop électro formé en 98 est décalé et jubilatoire, déjanté et rock’n’roll, en français à 98% dans le texte. Ils ont tous deux pour mission de rester frais et léger comme au premier jour ! Un 1er album « Par quelle volonté cosmique » (Odette/Mosaic) sort en 2001 avec Anthon (Noemi/Zimpala). Découverte 2001 aux Francofolies de la Rochelle. Joue, travaille, cherche, répète, improvise. Collabore avec d’autres artistes, d’autres disciplines artistiques. Participe au « Tribute to Arno » (capitol/EMI/LMA) en 2006 avec Cali, Magyd Cherfi, les Têtes Raides. Un 2ème album est à venir sous le nom SHOUBI OR NOT.

Vous êtes moroses, le temps est gris souris, venez passer cette soirée avec nous, ça va vous faire un bien fou !
Locations sur les réseaux FNAC et Ticketnet, réservations au 06 68 82 58 23.

C’est le titre du nouvel album de « Rue de la Muette ».

Extrait de l’iInterview de Patrick Ochs à lire dans son intégralité ici
« “Assez de Pognon !” Cet air me revenait sans cesse en tête, sans que je n’aie eu besoin de l’enregistrer sur la boite vocale de mon téléphone pour m’en souvenir. J’avais tout de suite trouvé les accords sur ma guitare. Plus tard, j’ai écrit des paroles qui me faisaient penser à ces émissions de télé qui ne parlaient que de pognon, de grosses bagnoles, de baraques avec piscines, tous ces symboles de la réussite sociale qu’on nous faisait ingurgiter dès la petite enfance ! “Assez de pognon !” Je me sentais solidaire avec tous ces gens défavorisés rencontrés aux restos du cœur ou dans les associations qui luttaient contre l’illettrisme, tous ces gens qu’on oubliait, qu’on licenciait, qu’on mettait honteusement sur le pavé ! »
Site de Rue de la Muette ici.
Myspace là.