Coralie au magasin de jouets

Coralie Clément sort un nouvel album qui porte le joli nom de « Toystore ».
Nous en avons trouvé un critique élogieuse sur le site www.musicactu.com ici et nous vous l’avons recopiée ci-dessous :

« La soeur de Benjamin Biolay nous apporte une touche de douceur bienfaitrice et un éventail d’instruments étonnants.
L’évocation du nom de Coralie Clément nous oblige à faire référence à son frère, Benjamin Biolay, qui a joué un rôle déterminant dans sa carrière. En 2001, à 22 ans, la chanteuse donnait naissance à son premier album. En 2005 elle continuait à tracer sa route, et, trois ans plus tard, elle délivre (déjà) son troisième disque. « Toystore » ne devrait pas passer inaperçu car une pléiade de personnalités proches de l’univers de Biolay a répondu présent à l’invitation lancée par la chanteuse à l’air mutin.
D’une douceur prodigieuse, la voix de Coralie Clément parvient à se poser d’une façon magnifique, aussi bien en français, qu’en anglais et même en italien. L’actrice et chanteuse Chiara Mastroiani a couché sur papier quelques morceaux pour son amie ; elle interprète même « Sono Io » avec elle. Le trop rare Etienne Daho s’est également invité dans l’aventure, à travers la chanson « Je ne sens plus ton amour ». Au final, « Toystore » est un disque profond accordant une large place à l’analyse, le tout agrémenté d’instruments tous plus surprenants les uns que les autres : ukulélé, sifflet à coulisse et même pipeau ! Laissez-vous submerger par cette touche de douceur… »

Le myspace de Coralie Clément ici.

Une réflexion sur « Coralie au magasin de jouets »

  1. Et trois clefs dans Télérama !
    "Coralie Clément, soeur de Benjamin Biolay, sort son troisième album studio. Un disque paradoxal : il sonne comme du pur Biolay (qui signe et compose la quasi-totalité des titres), à tel point qu’on s’attend parfois à l’entendre chanter… Pourtant, c’est bien la demoiselle qui appose et impose sa présence, une voix légère mais charnelle, délicate et sensuelle, nullement phagocytée par un frère surdoué. Second paradoxe : le disque regorge d’instruments plus ou moins enfantins (ukulélé, cornet de poche, sifflet à coulisse, pipeau) qui lui donnent des airs de naïveté… alors qu’il déroule en fait un propos d’adulte souvent désabusé – et qui, peut-être, rêve justement de retrouver l’innocence de l’enfance. Rien d’étonnant alors qu’on y entende Etienne Daho le temps d’un duo déchiré et feutré. Quant aux plus attentifs, ils y reconnaîtront la voix de Chiara Mastroianni. Sans le moindre fracas, Toystore lève le voile sur d’élégants abîmes. Coralie Clément s’y fait charmante et élégante."
    Valérie Lehoux

    Telerama n° 3068 – 01 novembre 2008
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