« Pendant plus de 25 ans, pour “Télérama”, elle a couvert l’actualité de la chanson avec une passion qui ne s’est jamais démentie. Anne-Marie Paquotte avait quitté le journal il y a près de cinq ans, mais continuait de suivre de très près ces artistes qu’elle aimait ; elle en avait d’ailleurs découvert et soutenu beaucoup, ce qu’ils n’ont pas oublié. »
Vous trouverez les témoignages des artistes sur le site de Télérama ici.
Bordeaux Chanson est triste aussi.

« Pour son troisième disque, après deux longues années pour la composition des musiques, Martin Rappeneau contacte Régis Ceccarelli (musicien avec Keren Ann, Tété, Jean Louis Murat et producteur de Henri Salvador, Abd El Malik…) pour l’aider à réaliser cet album. Les textes sont signés : Jean-Loup Dabadie, Gérard Duguet Grasser, l’une des nouvelles plumes de Julien Clerc, et Didier Golemanas…

Deux longues années pour retrouver la ligne claire de Martin. Sur les titres en écoute sur son MySpace, on ressent tout de suite, la chaleur d’un univers qui nous semble si proche. Une voix, des mélodies qui évoquent Michel Berger et au fond une certaine chanson française épurée. Des mélodies douces, des arrangements classiques, Martin ne révolutionnera pas la Nouvelle Scène mais sans aucun doute, continue à creuser, doucement, son sillon dans le coeur du public.

Alors si vous êtes allergique aux textes parfois démago de la Nouvelle Scène, au second degré, à l’accordéon… Procurez vous rapidement les albums de Martin… »

Infos trouvées sur Francoscene.com ici.
Myspace de Martin là.