Vous qui passez…

… sur ce site en vous disant « c’est bien ce qu’ils font dans cette petite asso, faudra que j’aille voir un concert un de ces jours », votre moment est arrivé : le concert de ce vendredi est pour vous !
C’est à La Halle des Chartrons à 21h que nous accueillons l’univers délicieusement sucré de Jérémie Kisling dont le nouvel album « Antimatière » sort aujourd’hui. Vous découvrirez en première partie un repérage local du comité d’écoute : Simon Luro.

Encore une magnifique soirée artistique et humaine comme nous aimons en fabriquer.
Les places sont à 12 et 15€.

Venez plus tôt !
Nous proposons des assiettes salées et sucrées et des soupes à petits prix.
Nous aurons un large choix de bières et jus de fruis bio, de boissons chaudes ainsi qu’une dégustation de Château La Gatte en présence de la viticultrice pour un casse croûte convivial dès 20h.
RÉSERVATION de vos places et de vos assiettes ici.

2 réflexions sur « Vous qui passez… »

  1. Depuis le temps qu’on n’entendait plus rien de lui – quatre ans, depuis son précédent disque -, on se demandait bien ce que devenait le petit prince de la chanson suisse. Car si, faute d’un succès grand public, son nom ne vous dit pas grand-chose, il a bel et bien brillé un moment au firmament des jeunes talents. Qu’en est-il aujourd’hui ? A 34 ans, Jérémie Kisling n’a rien perdu du charme romantique et un tantinet désuet qui faisait mouche à l’époque. Ses atouts principaux sont restés les mêmes : une voix douce et d’une impeccable souplesse ; des mots plus ou moins naïfs, à la tendresse parfois désespérée ; des mélodies légères et lumineuses, a priori aussi simples et en tout cas aussi efficaces qu’une ligne claire et qu’un trait assuré. Son troisième album, résolument pop, est sans doute un peu plus facile d’accès que les deux précédents, par la rondeur de ses mélodies, la minutie de ses arrangements, la profondeur discrète de ses textes. Dommage que sur la longueur cette magie pop finisse par s’essouffler, tirant vers la variété, ou mollissant sous des excès de candeur. Cela mis à part, il n’en reste pas moins séduisant.

    Valérie Lehoux

    Telerama n° 3137 – 27 février 2010

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