Ici, Serge Beyer de Longueur d’Ondes parle de notre dernière soirée à l’Onyx.
Voilà donc l’occasion de nous livrer vos propres commentaires sur l’ensemble de ces deux premières soirées de la saison…
Ici, Serge Beyer de Longueur d’Ondes parle de notre dernière soirée à l’Onyx.
Voilà donc l’occasion de nous livrer vos propres commentaires sur l’ensemble de ces deux premières soirées de la saison…
… bel article, mais je n’étais pas à ce concert dont je ne peux en parler,
par contre celui de David Lafore m’a enchanté, ou comment la poésie trash met en lumière et en mal à l’aise, le plaisir indolent des mots et une théâtralisation de la scène comme un blasphème… du grand Lafore entre amour, à mort et désinvolture douce…
J’aime bien l’idée de "la voix qui rape comme une langue de chat" pour le Larron. Je trouve que l’article de Serge Beyer rend bien ce que j’ai ressenti de ce concert : Le Larron a vraiment une présence sur scène indéniable et des chansons non seulement bien faites mais aussi bien "pleines".
Christorama, quant à lui, a su trouver les mots pour décrire l’indescriptible mais néanmoins séduisant concert (?) de David Lafore, et franchement chapeau !!!!
Et pour ce qui est de la prestation de Alex Fohl je l’ai bien appréciée (plus le 2nd soir que le 1er comme quoi le vert sur scène peut porter bonheur !) : sa méthode de "l’ascenseur corn-flakes" devrait être adoptée par tous les profs de français …