Carine Erseng « La vitesse supérieure »
« Après avoir quitté ses études, chanté dans un bar de Chantilly, Carine troque le comptoir pour les cabarets. Une sacré école, un parcours de galère, de petites scènes, de rues… Bref, un début de carrière comme on en fait de moins en moins… Face au public, elle chante Brel ou Barbara puis rapidement, elle interprète ses propres et titres et lance ses premiers albums autoproduits. Le bouche à oreille et ses prestations scéniques lui ouvrent quelques grandes scènes.
Elle s’offre même l’Olympia : Pour se faire connaître, reconnaître, quoi de mieux que le prestigieux music-hall du boulevard des Capucines ? Carine Erseng vend à l’avance les places à son public des cabarets. Elle a fait un emprunt, monté une société de productions, demandé une licence d’organisation de spectacles, rencontré le directeur de l’Olympia, Arnaud Delbarre. Et c’est ainsi que le 17 mars dernier, 2000 des spectateurs qui ont suivi la chanteuse dans les petites salles la retrouvent dans une des plus grandes de Paris.
Au fil des rencontres, elle trouve un manager, un réalisateur (Alain Cluzeau (Bénabar, Olivia Ruiz, Vincent Delerm…) et des musiciens. Son premier opus impose un univers de jazz manouche, de chansons de rues mais aussi une certaine mélancolie. Son succulent, voix rieuse, propos vif et espiègle comme le regard de la chanteuse : entrez dans la musicale comédie de Carine Erseng. »
Info trouvée sur le site de Francoscène ici.
Myspace de Carine Erseng là.